|
{ |
|
"metiers": { |
|
"metier": [ |
|
{ |
|
"identifiant": "MET.1", |
|
"nom_metier": "contrôleur/euse aérien/ne", |
|
"libelle_feminin": "contrôleuse aérienne", |
|
"libelle_masculin": "contrôleur aérien", |
|
"synonymes": { |
|
"synonyme": [ |
|
{ |
|
"nom_metier": "aiguilleur/euse du ciel", |
|
"libelle_feminin": "aiguilleuse du ciel", |
|
"libelle_masculin": "aiguilleur du ciel" |
|
}, |
|
{ |
|
"nom_metier": "ingénieur/e du contrôle de la navigation aérienne", |
|
"libelle_feminin": "ingénieure du contrôle de la navigation aérienne", |
|
"libelle_masculin": "ingénieur du contrôle de la navigation aérienne" |
|
} |
|
] |
|
}, |
|
"romesV3": { |
|
"romeV3": "N2202" |
|
}, |
|
"competences": "\n <h5>Calme et réactif</h5>\n <p>Ce métier demande un sens aigu des responsabilités, car une erreur d'évaluation dans la trajectoire d'un avion est lourde de conséquences... Au cours de ses missions, le contrôleur aérien doit faire preuve d'excellentes capacités d'analyse pour gérer plusieurs sources d'information simultanément. Il doit être capable de réagir immédiatement dans un environnement complexe et de prendre des décisions déterminantes.</p>\n <p>D'un calme à toute épreuve et très réactif, il a l'autorité nécessaire pour imposer ses décisions aux pilotes qui survolent sa zone, qu'ils soient français ou étrangers.</p>\n <h5>Scientifique bilingue</h5>\n <p>Spécialiste de la navigation aérienne et du pilotage d'avion, il possède des compétences scientifiques et techniques de haut niveau. Il parle couramment l'anglais pour échanger des informations avec les pilotes des avions en provenance de l'étranger.</p>\n <h5>Parfaite condition physique</h5>\n <p>Pour exercer ce métier, une excellente vue est exigée, ainsi qu'une bonne santé générale. Les contrôleurs aériens sont d'ailleurs soumis à des examens médicaux réguliers, comme les pilotes.</p>", |
|
"condition_travail": "\n <h5>Des heures de travail intenses et décalées</h5>\n <p>Le trafic aérien français est l'un des plus denses au monde. Le contrôleur est responsable des avions de tourisme privés ou des gros porteurs. Il travaille en horaires décalés, à raison de 32 heures par semaine, alternant plages de travail et repos car la tour de contrôle fonctionne de jour comme de nuit, 7 jours sur 7. Ses horaires ne sont donc pas fixes car les périodes travaillées se prennent par roulements.</p>\n <h5>Un travail d'équipe</h5>\n <p>Le contrôleur travaille toujours en duo avec un collègue : l'un se charge des procédures de vol, tandis que l'autre suit le radar. Il est en liaison permanente avec les pilotes et ses homologues chargés des autres secteurs aériens, les services de la météo et, parfois, les services de recherche et de sauvetage.</p>\n <h5>Statut de fonctionnaire</h5>\n <p>En France, les contrôleurs aériens ont la particularité d'être des fonctionnaires. Ils travaillent dans un aéroport ou dans l'un des 5 centres de contrôle régionaux : Aix-en-Provence, Athis-Mons, Bordeaux, Brest et Reims.</p>\n <p>Parallèlement, l'armée de l'air et la Marine nationale emploient également des contrôleurs aériens après une formation militaire initiale, puis une formation professionnelle.</p>", |
|
"nature_travail": "\n <h5>Un suivi en temps réel</h5>\n <p>Le contrôleur aérien règle la circulation des avions, en altitude et aux abords de son aéroport d'attache. Depuis sa tour de contrôle, quels que soient le trafic et les conditions météo, il guide les pilotes tout au long de leur vol. Face à ses ordinateurs, il analyse en permanence une multitude d'informations qui lui permettent de spécifier, en temps réel, à quel moment l'avion peut décoller ou se poser, et quelle piste emprunter. Il est relié au commandant de bord de l'avion par liaison radio.</p>\n <h5>Un contrôle permanent</h5>\n <p>À l'aide d'instruments (radars), le contrôleur aérien analyse la circulation aérienne avant d'autoriser le pilote à pénétrer dans le secteur dont il est responsable. Il décide des autorisations de survol, puis conseille et guide les avions qui traversent son secteur, lesquels sont identifiés tout au long du vol. Quand ils entrent dans son secteur, le contrôleur demande au pilote son niveau, sa vitesse, sa position... conformément à son plan de vol.</p>\n <h5>Répondre aux urgences</h5>\n <p>Le contrôleur peut être amené à alerter un pilote sur des difficultés dans son secteur ou sur les pistes. En cas de situation extrême (absence de contact avec l'appareil, par exemple), le contrôleur prévient son supérieur et déclenche les procédures d'urgence.</p>", |
|
"acces_metier": "\n <p>En France, les contrôleurs aériens ont la particularité d'être des fonctionnaires. Ils sont tous passés par l'École nationale de l'aviation civile (ENAC) de Toulouse.</p>\n <p>Niveau bac + 5</p>\n <p>Accès à l'ENAC : chaque année, un concours est organisé dans les principales métropoles régionales. Il s'adresse aux titulaires d'un bac + 2, ayant moins de 27 ans au 1er janvier de l'année du concours. Un très bon niveau en anglais est indispensable. Les candidats admis subissent un examen médical destiné à vérifier leurs aptitudes physiques et mentales.</p>\n <p>Formation à l'ENAC : elle dure 3 ans, dont 18 mois de théorie et de stages pratiques, dont un stage de pilotage (brevet de pilote privé d'avion) et un stage en pays anglophone. Rémunérés pendant leur scolarité, les élèves fonctionnaires s'engagent à travailler 7 ans pour l'État dans le corps des ingénieurs du contrôle de la navigation aérienne.</p>", |
|
"vie_professionnelle": "\n <h3>Salaire</h3>\n <h5>Salaire du débutant</h5>\n <p>En tant qu'élève fonctionnaire, le contrôleur aérien perçoit une rémunération brute mensuelle de 1486 euros en 1re année ; 2200 euros en 2e année ; 2383 euros en 3e année.</p>\n <p>Enfin, il a un salaire d'environ 2552 euros brut par mois 1 an après la sortie de l'école.</p>\n <h3>Intégrer le marché du travail</h3>\n <h5>Élève fonctionnaire</h5>\n <p>Une fois admis à l'Enac, l'élève Icna (ingénieur/e du contrôle de la navigation aérienne) suit une formation de 3 ans rémunérée. À mi-parcours, il choisit entre 2 voies, en fonction de son classement : les centres de contrôle régionaux et les aéroports. 40 % des contrôleurs exercent dans les centres de contrôle régionaux, 40 % dans les aéroports et aérodromes et 20 % occupent un poste d'études ou d'encadrement.</p>\n <h5>Évolution possible</h5>\n <p>Une fois en poste, le contrôleur doit actualiser régulièrement ses connaissances sur les réglementations et technologies nouvelles. Par voie de concours internes, le contrôleur aérien peut évoluer (suivant son ancienneté) vers des fonctions d'études, d'encadrement ou de management dans les services de l'aviation civile. Dans tous les cas, une fois sorti de l'école, l'ingénieur du contrôle de la navigation aérienne, ou contrôleur aérien, doit 7 ans à l'administration avant d'envisager une reconversion en dehors de l'administration.</p>", |
|
"accroche_metier": "\n <p>Garant de la sécurité et de la fluidité du trafic aérien, le contrôleur aérien guide les pilotes du décollage jusqu'à l'atterrissage de leur avion. Un métier scientifique à haute responsabilité, sans droit à l'erreur !</p>", |
|
"formats_courts": { |
|
"format_court": [ |
|
{ |
|
"type": "Fiche metier (Documentation)", |
|
"libelle": "ingénieur(e) du contrôle de la navigation aérienne", |
|
"descriptif": "\n <p>Pendant toute la durée du vol, le pilote d'avion est guidé par radio par le contrôleur aérien. Plus connu sous le nom d'aiguilleur du ciel, ce dernier supervise le trafic et donne les autorisations de survol. Dans un aéroport, du haut de la tour de contrôle, il règle les chassés-croisés des avions qui décollent, atterrissent... ou attendent qu'une piste se libère ! Garant de la sécurité aérienne, il n'a pas droit à l'erreur.</p>" |
|
}, |
|
{ |
|
"type": "Dico des métiers", |
|
"libelle": "contrôleur aérien / contrôleuse aérienne", |
|
"descriptif": "\n <p>Pendant toute la durée du vol, depuis le décollage jusqu'à l'atterrissage, le pilote d'avion est guidé par radio par un contrôleur aérien. Plus connu sous le nom d'aiguilleur du ciel, ce dernier supervise le trafic des avions et donne les autorisations de survol de la zone dont il est responsable. Dans un aéroport, du haut de la tour de contrôle, il règle les chassés-croisés des avions qui décollent, atterrissent… ou attendent qu'une piste se libère ! Garant de la sécurité et de la fluidité du trafic aérien, cet ingénieur du contrôle de la navigation aérienne n'a pas le droit à l'erreur. Il doit avoir une bonne résistance au stress, car chacune de ses décisions met potentiellement en jeu la vie de centaines de passagers. Il travaille en duo avec un collègue, en horaires décalés et par roulements, car la tour de contrôle fonctionne en permanence.</p>\n <h5>Durée des études</h5>\n <h4>Après le bac</h4>\n <p>2 ans (classes prépa, BTS, L2…) pour se présenter au concours de l'Enac (École nationale de l'aviation civile) de Toulouse et suivre ensuite une formation de 3 ans, durant lesquels les élèves sont fonctionnaires et rémunérés.</p>" |
|
} |
|
] |
|
}, |
|
"statuts": { |
|
"statut": { |
|
"id": "T-ITM.1", |
|
"libelle": "fonctionnaire" |
|
} |
|
}, |
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"metiers_associes": { |
|
"metier_associe": [ |
|
{ |
|
"id": "MET.7821", |
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"libelle": "agent/e d'opérations aériennes" |
|
}, |
|
{ |
|
"id": "MET.400", |
|
"libelle": "pilote de ligne" |
|
}, |
|
{ |
|
"id": "MET.587", |
|
"libelle": "sous-officier/ère de l'armée de terre" |
|
} |
|
] |
|
}, |
|
"niveau_acces_min": { |
|
"id": "REF.410", |
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"libelle": "Bac + 5" |
|
}, |
|
"formations_min_requise": { |
|
"formation_min_requise": { |
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"id": "FOR.2356", |
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"libelle": "Ingénieur du contrôle de la navigation aérienne" |
|
} |
|
}, |
|
"publications": { |
|
"publication": { |
|
"code_librairie": "9782273014533", |
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"titre_publication": "Les métiers du transport et de la logistique", |
|
"editeur": "ONISEP", |
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"annee": "2019", |
|
"collection": "Parcours" |
|
} |
|
}, |
|
"sources_numeriques": { |
|
"source": [ |
|
{ |
|
"valeur": "http://www.enac.fr", |
|
"commentaire": "Site de l'École nationale de l'aviation civile qui propose une formation de flight dispatcher." |
|
}, |
|
{ |
|
"valeur": "http://www.airemploi.org", |
|
"commentaire": "AIREMPLOI espace information orientation," |
|
} |
|
] |
|
}, |
|
"secteurs_activite": { |
|
"metier_transverse": "", |
|
"secteur_activite": [ |
|
{ |
|
"id": "T-IDEO2.4846", |
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"libelle": "Fonction publique" |
|
}, |
|
{ |
|
"id": "T-IDEO2.4841", |
|
"libelle": "Logistique et transport" |
|
} |
|
] |
|
}, |
|
"centres_interet": { |
|
"centre_interet": [ |
|
{ |
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"id": "T-IDEO2.4820", |
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"libelle": "j'aime être aux commandes" |
|
}, |
|
{ |
|
"id": "T-IDEO2.4818", |
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"libelle": "j'aime les langues" |
|
} |
|
] |
|
} |
|
}, |
|
{ |
|
"identifiant": "MET.10", |
|
"nom_metier": "peintre en bâtiment", |
|
"libelle_feminin": "peintre en bâtiment", |
|
"libelle_masculin": "peintre en bâtiment", |
|
"synonymes": { |
|
"synonyme": { |
|
"nom_metier": "peintre finisseur/euse", |
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"libelle_feminin": "peintre finisseuse", |
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"libelle_masculin": "peintre finisseur" |
|
} |
|
}, |
|
"romesV3": { |
|
"romeV3": "F1606" |
|
}, |
|
"competences": "\n <h5>Le sens de l'esthétique</h5>\n <p>Application des peintures et des vernis, isolation, étanchéité... Les compétences du peintre en bâtiment sont variées. Maîtriser les matériaux et les techniques ne suffit pourtant pas : il faut aussi posséder l'oeil et le savoir-faire d'un artisan pour bien utiliser les couleurs, harmoniser les diverses nuances et créer une atmosphère.</p>\n <h5>La capacité d'adaptation</h5>\n <p>Polyvalent, il s'adapte à tout type de chantier et s'intéresse aux différents revêtements utilisés dans le bâtiment : peintures décoratives, mais aussi moquettes collées, revêtements vinyliques, plaques de liège, etc. Les techniques et matériaux sont en évolution constante. Les nouvelles peintures décoratives permettent d'obtenir des effets de matière (paillettes, gouttelettes...) ou des surfaces patinées, spatulées, froissées, épongées... À lui de s'adapter au changement des tendances.</p>\n <h5>Le soin et la rigueur</h5>\n <p>Il fait preuve de beaucoup de patience, de minutie, d'habileté et de soin dans son travail. En rénovation, il pose des bâches pour ne pas endommager les biens du client. Une fois la pièce repeinte, elle doit être parfaitement propre. Sur le chantier, il respecte les consignes de sécurité et manipule avec précaution les outils et les produits.</p>", |
|
"condition_travail": "\n <h5>Artisan indépendant ou salarié</h5>\n <p>Le peintre en bâtiment peut exercer sous différents statuts : salarié dans une entreprise du bâtiment ou artisan indépendant (avec de l'expérience).</p>\n <h5>Sur des chantiers divers</h5>\n <p>Maisons individuelles, espaces publics, bureaux, magasins ou usines de production... les de chantiers sont variés. Le peintre en bâtiment travaille dans différents lieux et doit être suffisamment polyvalent pour pouvoir proposer une offre globale aux clients, qu'il adaptera ensuite en fonction de besoins particuliers. Doté d'une bonne condition physique, juché parfois en hauteur, il ne doit pas être sujet au vertige.</p>\n <h5>Un travail d'équipe</h5>\n <p>Sous l'autorité d'un chef d'équipe, le peintre en bâtiment travaille seul ou en collaboration avec les autres ouvriers du chantier (électriciens, plombiers, etc.). Il exerce ses talents à l'intérieur de locaux ou à l'extérieur. Le calendrier de ses interventions peut être impacté par les conditions météorologiques lorsqu'il travaille en plein air, sur la peinture extérieure d'un bâtiment.</p>", |
|
"nature_travail": "\n <h5>La touche finale</h5>\n <p>Qu'il intervienne sur un chantier de construction ou participe à des travaux de rénovation, le peintre en bâtiment apporte aux locaux la touche finale en habillant les façades, les murs et les plafonds.</p>\n <h5>Installation et préparation</h5>\n <p>Il monte des échafaudages, installe des tables à tréteaux pour y poser outils et matériaux, déploie des bâches pour protéger le mobilier et la moquette. Commence alors un long travail de préparation du support. Il faut décoller l'ancien papier peint, décaper les vieilles peintures, colmater les fissures, poncer, enduire... Une fois que les surfaces sont parfaitement lisses, le revêtement peut être appliqué.</p>\n <h5>Le choix des outils</h5>\n <p>Entre ses mains, les pinceaux succèdent aux rouleaux, les brosses aux pistolets : à chaque instant, le peintre doit trouver l'outil le mieux adapté aux travaux à réaliser. Il faut aussi choisir les peintures (mates ou satinées), les vernis... Doté d'une sensibilité artistique, le peintre peut se muer en décorateur, essayant tantôt d'imiter le bois ou le marbre, tantôt d'obtenir un effet en trompe-l'oeil.</p>", |
|
"acces_metier": "\n <p>Le CAP constitue le niveau minimum requis à l'embauche. Il peut être complété par un CS, un BP ou un bac professionnel. Les bacheliers professionnels pourront plus facilement accéder à des postes à responsabilités.</p>\n <p>Après la 3e</p>\n <p>CAP peintre applicateur de revêtements</p>\n <p>Niveau bac</p>\n <p>Bac professionnel aménagement et finition du bâtiment</p>\n <p>BP peintre applicateur de revêtements</p>\n <p>CS peinture décoration ; plâtrier</p>", |
|
"vie_professionnelle": "\n <h3>Salaire</h3>\n <h5>Salaire du débutant</h5>\n <p>À partir du Smic et plus (selon la région et le niveau de qualification).</p>\n <h3>Intégrer le marché du travail</h3>\n <h5>Professionnels recherchés</h5>\n <p>Beaucoup de peintres sont formés en apprentissage et acquièrent du savoir-faire par la pratique. Quel que soit son niveau de formation, un jeune n'aura guère de mal à trouver un emploi de peintre. C'est, bien sûr, dans les villes que les opportunités sont les plus nombreuses. Et auprès des petites entreprises artisanales, largement majoritaires dans le secteur du bâtiment. Les entreprises recherchent des professionnels polyvalents, capables de réaliser divers travaux : isolation, peinture décorative, etc.</p>\n <h5>Devenir chef de chantier</h5>\n <p>Les titulaires d'un bac professionnel peuvent ambitionner de devenir chefs de chantier, voire de s'installer à leur compte, s'ils possèdent des notions de gestion et de comptabilité. Autres conditions nécessaires pour pouvoir évoluer : avoir de l'expérience, de la volonté et le sens des responsabilités.</p>\n <h5>Se spécialiser ou se diversifier</h5>\n <p>Certains peintres acquièrent des compétences particulières en décoration et savent réaliser des patines, des dorures etc. D'autres se diversifient et savent poser papier peint, sol souple, parquets... et même des vitres !</p>", |
|
"accroche_metier": "\n <p>Dernier ouvrier à intervenir sur un chantier de construction, le peintre en bâtiment habille murs et plafonds. Passé maître dans l'art des finitions, il sait aussi conseiller les clients dans leurs choix de décoration.</p>", |
|
"formats_courts": { |
|
"format_court": [ |
|
{ |
|
"type": "Dico des métiers", |
|
"libelle": "peintre en bâtiment", |
|
"descriptif": "\n <p>Dans la grande chaîne des métiers du bâtiment, le peintre en bâtiment apporte la touche finale. Une qualité irréprochable s'obtient d'abord au prix d'un long travail de préparation des murs et des plafonds. Il faut boucher, enduire, poncer, pour obtenir des surfaces parfaitement lisses. Ensuite, l'oeil et le savoir-faire du peintre sont déterminants pour créer la magie d'une atmosphère. Il prépare les mélanges de couleurs et harmonise les nuances. Les techniques et les matériaux sont en évolution constante : de la simple application de peinture à la pose de tissus, en passant par le papier peint, les revêtements vinyliques, les moquettes collées, les plaques de liège. Les nouvelles peintures décoratives permettent de jouer avec les matières (paillettes, gouttelettes, etc.), ou encore d'obtenir des effets patinés, froissés ou épongés notamment. Les chantiers changent souvent, les clients aussi : le peintre en bâtiment doit avoir le sens du contact développé. L'avenir dans ce marché consiste à proposer une offre globale au client. Le peintre doit savoir se faire plâtrier, s'intéresser au parquet, à la moquette, au carrelage, aux boiseries ou même à la façade. Quel que soit son niveau de formation, le peintre trouvera toujours des débouchés. Il peut s'installer à son compte comme artisan.</p>\n <h5>Durée des études</h5>\n <h4>Après la 3e</h4>\n <p>2 ans pour préparer le CAP peintre applicateur de revêtements, éventuellement complété par le CS peinture décoration ; plâtrier (en 1 an) ; ou par le BP peintre applicateur de revêtements (en 2 ans).</p>\n <p>3 ans pour préparer le bac professionnel aménagement et finition du bâtiment.</p>" |
|
}, |
|
{ |
|
"type": "Fiche metier (Documentation)", |
|
"libelle": "peintre en bâtiment", |
|
"descriptif": "\n <p>Après avoir soigneusement préparé les surfaces, le peintre en bâtiment applique divers revêtements (peintures, vernis, papiers peints, mais aussi parquets, vitres, etc.). Les employeurs exigent de lui qu'il soit polyvalent et sache s'adapter à toutes sortes de commandes. Si un CAP suffit pour débuter, le bac professionnel permet de devenir chef de chantier, voire de s'installer à son compte, avec des notions de gestion et de comptabilité. Autres conditions nécessaires pour pouvoir évoluer : avoir de l'expérience, de la volonté et le sens des responsabilités.</p>" |
|
} |
|
] |
|
}, |
|
"statuts": { |
|
"statut": [ |
|
{ |
|
"id": "T-ITM.2", |
|
"libelle": "artisan" |
|
}, |
|
{ |
|
"id": "T-ITM.9", |
|
"libelle": "salarié" |
|
} |
|
] |
|
}, |
|
"metiers_associes": { |
|
"metier_associe": [ |
|
{ |
|
"id": "MET.438", |
|
"libelle": "chef/fe de chantier" |
|
}, |
|
{ |
|
"id": "MET.257", |
|
"libelle": "décorateur/trice d'intérieur" |
|
}, |
|
{ |
|
"id": "MET.982", |
|
"libelle": "peintre décorateur/trice" |
|
} |
|
] |
|
}, |
|
"niveau_acces_min": { |
|
"id": "REF.413", |
|
"libelle": "CAP ou équivalent" |
|
}, |
|
"formations_min_requise": { |
|
"formation_min_requise": [ |
|
{ |
|
"id": "FOR.995", |
|
"libelle": "CAP peintre applicateur de revêtements" |
|
}, |
|
{ |
|
"id": "FOR.1314", |
|
"libelle": "bac pro aménagement et finition du bâtiment" |
|
}, |
|
{ |
|
"id": "FOR.1376", |
|
"libelle": "BP peintre applicateur de revêtements" |
|
}, |
|
{ |
|
"id": "FOR.6961", |
|
"libelle": "TP peintre décorateur" |
|
}, |
|
{ |
|
"id": "FOR.7729", |
|
"libelle": "TP façadier peintre" |
|
}, |
|
{ |
|
"id": "FOR.7732", |
|
"libelle": "TP peintre en bâtiment" |
|
}, |
|
{ |
|
"id": "FOR.8342", |
|
"libelle": "MC (futur CS) plâtrier" |
|
}, |
|
{ |
|
"id": "FOR.8569", |
|
"libelle": "TP peintre applicateur de revêtements techniques" |
|
}, |
|
{ |
|
"id": "FOR.10001", |
|
"libelle": "MC (futur CS) peinture décoration" |
|
} |
|
] |
|
}, |
|
"publications": { |
|
"publication": { |
|
"code_librairie": "9782273016445", |
|
"titre_publication": "Les métiers du bâtiment et des travaux publics", |
|
"editeur": "ONISEP", |
|
"annee": "2023", |
|
"collection": "Parcours" |
|
} |
|
}, |
|
"sources_numeriques": { |
|
"source": [ |
|
{ |
|
"valeur": "http://www.ffbatiment.fr", |
|
"commentaire": "Site de la FFB (Fédération française du bâtiment)." |
|
}, |
|
{ |
|
"valeur": "http://www.metiers-btp.fr/secteur-btp/fiche-metier/peintre", |
|
"commentaire": "Fiche de l'Observatoire prospectif des métiers et qualifications du BTP" |
|
}, |
|
{ |
|
"valeur": "http://www.ccca-btp.fr", |
|
"commentaire": "Comité central de coordination de l'apprentissage du BTP." |
|
}, |
|
{ |
|
"valeur": "http://www.compagnons-du-devoir.com", |
|
"commentaire": "Association ouvrière des Compagnons du Devoir et du Tour de France." |
|
} |
|
] |
|
}, |
|
"secteurs_activite": { |
|
"metier_transverse": "", |
|
"secteur_activite": { |
|
"id": "T-IDEO2.4863", |
|
"libelle": "Bâtiment et travaux publics (BTP)" |
|
} |
|
}, |
|
"centres_interet": { |
|
"centre_interet": [ |
|
{ |
|
"id": "T-IDEO2.4809", |
|
"libelle": "j'aime bouger" |
|
}, |
|
{ |
|
"id": "T-IDEO2.4806", |
|
"libelle": "je veux travailler de mes mains" |
|
} |
|
] |
|
} |
|
}, |
|
{ |
|
"identifiant": "MET.100", |
|
"nom_metier": "développeur/euse rural/e humanitaire", |
|
"libelle_feminin": "développeuse rurale humanitaire", |
|
"libelle_masculin": "développeur rural humanitaire", |
|
"synonymes": "", |
|
"romesV3": { |
|
"romeV3": "K1802" |
|
}, |
|
"competences": "\n <h5>Être pédagogue</h5>\n <p>Une expérience de la gestion de projet auprès de producteurs est nécessaire pour ce spécialiste de l'agro-économie. Doté d'une forte capacité d'écoute et de diplomatie, le développeur rural humanitaire doit comprendre les besoins et les attentes des bénéficiaires du programme et des autorités locales. Comprendre la culture du pays d'accueil implique de s'informer sur ses coutumes et sa hiérarchie sociale.</p>\n <h5>Savoir gérer son temps et son budget</h5>\n <p>Devant assurer une mission de conseil et d'appui technique, le développeur rural choisit les bénéficiaires du programme, rédige les fiches de suivi et d'évaluation. Ce gestionnaire de projet veille également au respect des objectifs et des délais, et gère le budget affecté à son activité.</p>\n <h5>Savoir s'adapter</h5>\n <p>Participer à une mission dans une zone reculée d'Afrique ou d'Asie exige une bonne dose d'adaptabilité et de résistance au stress. Il faut s'acclimater à la vie en équipe, en milieu isolé. Et ne jamais hésiter à mettre le pied à la bêche ou à descendre dans un puits quand cela s'avère nécessaire. Le développeur rural humanitaire doit être organisé et rigoureux, et avoir une bonne capacité d'analyse.</p>", |
|
"condition_travail": "\n <h5>Sur le terrain</h5>\n <p>Le développeur rural humanitaire travaille souvent loin de chez lui comme expatrié pour le compte d'une ONG (organisation non gouvernementale), dans un pays où celle-ci assure un programme de post-urgence (après un tsunami ou un tremblement de terre, par exemple) ou de développement. Il est affecté dans une région et est appelé à se déplacer sur différents sites, parfois reculés. Il passe de nombreuses heures sur le terrain et parcourt beaucoup de kilomètres. Il travaille principalement au contact des villageois et des autorités locales, notamment dans le cadre de formations, et collabore parfois avec d'autres expatriés, sur des projets précis.</p>\n <h5>Volontariat fréquent</h5>\n <p>Les recrutements se font souvent sous statut de volontaire de la solidarité internationale. Le développeur rural humanitaire bénéficie d'une prise en charge du transport, de l'hébergement et des frais de vie sur place, de la couverture sociale et d'une indemnité mensuelle. Certaines ONG (comme Acted et Première Urgence) offrent des postes salariés.</p>", |
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"nature_travail": "\n <h5>Relancer l'économie</h5>\n <p>Après une catastrophe ou un conflit, l'économie d'une région ou d'un pays est endommagée ou anéantie. Les ONG (organisations non gouvernementales) mettent alors en oeuvre des programmes d'urgence et de développement. En fonction de sa spécialité de base, le développeur rural humanitaire étudie l'impact des projets à long terme pour relancer la production et la commercialisation.</p>\n <h5>Conseil agricole</h5>\n <p>Le développeur rural humanitaire établit un diagnostic détaillé de la situation : besoins des populations, productions, marchés... Il élabore ensuite une stratégie de développement. Selon le contexte, il applique différents moyens : programmes d'introduction et de multiplication de semences, développement de parcelles maraîchères, création de poulaillers collectifs ou de petits élevages, installation de fermes de pisciculture, amélioration de l'irrigation, etc. </p>\n <h5>Développement durable</h5>\n <p>Conduire les populations vers l'autosuffisance alimentaire ne suffit pas. Le développeur rural doit pérenniser l'action en créant des coopératives communautaires, en développant des marchés locaux et des micro-financements... Cela passe également par la formation de cultivateurs et d'éleveurs locaux.</p>", |
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"acces_metier": "\n <p>Les ONG (organisations non gouvernementales) recrutent surtout des ingénieurs agricoles et agronomes, ainsi que quelques vétérinaires, économistes et sociologues. Des postes d'animateur rural peuvent être accessibles avec un bac + 2. La pratique de l'anglais est obligatoire.</p>\n <p>Niveau bac + 2</p>\n <p>BTSA développement de l'agriculture des régions chaudes</p>\n <p>Niveau bac + 4</p>\n <p>Formation de coordonnateur de projet de solidarité internationale et locale de l'Ifaid (Institut de formation et d'appui aux initiatives de développement)</p>\n <p>Niveau bac + 5</p>\n <p>Diplôme d'ingénieur agricoles ou d'agronome</p>\n <p>Master Gestion des territoires et développement local</p>\n <p>Niveau bac + 6</p>\n <p>Mastère de l'Institut des régions chaudes de SupAgro Montpellier</p>", |
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"vie_professionnelle": "\n <h3>Salaire</h3>\n <h5>Salaire du débutant</h5>\n <p>Très variable, la rémunération est fonction du niveau de qualification, de responsabilité et est basée sur la grille salariale de l'association.</p>\n <h3>Intégrer le marché du travail</h3>\n <h5>Expérience recommandée</h5>\n <p>Le développeur rural humanitaire doit avoir une expérience professionnelle significative. Les ONG (organisations non gouvernementales) qui assurent des programmes de développement rural recrutent des responsables techniques et des experts en agronomie, des vétérinaires, des spécialistes en économie sociale ou en développement, tous expérimentés. Le développement rural représente 5 % des volontaires en mission. Certaines organisations, comme Première Urgence, Acted, ACF (Action contre la faim), l'Association française des volontaires du progrès ou Agronomes et Vétérinaires sans frontières ont une forte implication dans ce domaine.</p>\n <h5>Retour en France possible</h5>\n <p>Les missions durent entre 6 et 12 mois et sont parfois renouvelables. Avec l'expérience, les humanitaires qui ont déjà à leur actif plusieurs missions peuvent évoluer vers des postes de coordination de programmes. Ceux qui souhaitent quitter l'action humanitaire peuvent reprendre une activité en France en tant que conseiller agricole, développeur rural, vétérinaire...</p>", |
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"accroche_metier": "\n <p>Le développeur rural humanitaire conseille les populations vulnérables dans les pays en développement. Son objectif : les conduire vers l'autosuffisance alimentaire dans une perspective de développement durable.</p>", |
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"formats_courts": { |
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"type": "Fiche metier (Documentation)", |
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"libelle": "développeur/euse rural/e humanitaire", |
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"descriptif": "\n <p>Le développeur rural humanitaire développe des projets de développement humanitaire pour conduire les populations bénéficiaires vers l'autosuffisance alimentaire dans une perspective durable. Pour cela, il dispose de plusieurs moyens d'action. Il améliore les pratiques agricoles, monte des coopératives agricoles et les aide à trouver des marchés locaux. Ses employeurs sont les ONG (organisations non gouvernementales).</p>" |
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"type": "Dico des métiers", |
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"libelle": "développeur rural / développeuse rurale humanitaire", |
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"descriptif": "\n <p>Le développeur rural humanitaire conseille les populations vulnérables dans un pays en développement. Son objectif : les conduire vers l'autosuffisance alimentaire dans une perspective de développement durable. Les ONG (organisations non gouvernementales) mettent en oeuvre des programmes d'urgence et de développement. Dans ce cadre, le développeur rural est amené à faire du conseil agricole. Il établit un diagnostic détaillé de la situation : besoins des populations, productions, marchés, et applique ensuite différentes solutions : programmes d'introduction et de multiplication de semences, développement de parcelles maraîchères, création de poulaillers collectifs, etc. Il pérennise cette action en créant des coopératives communautaires, en développant des micro-financements... Il forme aussi cultivateurs et éleveurs locaux.</p>\n <p>Le développeur rural humanitaire exerce comme volontaire de la solidarité internationale. Il bénéficie d'une prise en charge du transport, de l'hébergement et des frais de vie sur place, de la couverture sociale et d'une indemnité mensuelle. Certaines ONG offrent des postes salariés. Toutes les ONG recrutent des personnes expérimentées : des ingénieurs agricoles et agronomes, ainsi que quelques vétérinaires, des économistes et des sociologues (bac + 5). Des postes d'animateur rural peuvent être accessibles avec un bac + 2.</p>\n <h5>Durée des études</h5>\n <h4>Après le bac</h4>\n <p>De bac + 2 (BTSA développement de l'agriculture des régions chaudes) à bac + 3 (formation de coordonnateur de projet de solidarité internationale et locale), bac + 5 (diplôme d'ingénieur agricole ou d'agronom, master gestion des territoires et développement local) et bac + 6 (mastère de l'Institut des régions chaudes).</p>" |
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"statuts": { |
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"formation_min_requise": [ |
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"libelle": "diplôme d'ingénieur de l'Institut supérieur d'agriculture Rhône-Alpes" |
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"libelle": "diplôme d'ingénieur de l'Institut d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement" |
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"libelle": "diplôme d'ingénieur de l'École nationale supérieure des sciences agronomiques de Bordeaux Aquitaine" |
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"libelle": "diplôme d'ingénieur de l'Institut des sciences et industries du vivant et de l'environnement (AgroParisTech)" |
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"libelle": "mastère spé. innovations et politiques pour une alimentation durable" |
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"libelle": "diplôme d'ingénieur de l'École nationale supérieure d'agronomie et des industries alimentaires de l'université de Lorraine spécialité agronomie" |
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"libelle": "diplôme d'ingénieur de l'Institut supérieur d'agriculture - JUNIA" |
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"libelle": "diplôme d'ingénieur de l'Institut Agro Rennes-Angers de l'institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Institut Agro) spécialité agronomie" |
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"libelle": "master mention gestion des territoires et développement local" |
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